Dernière lecture en date, un polar. Peur noire de Harlan Coben. L’intrigue démarre très vite. Alors que Myron Bolitar, agent sportif de son état rend visite à ses parents, une ex-petite amie marié à son ennemi sur les terrains de basket vient lui demander de l’aide pour sauver son fils atteint d’une maladie rare. Pour que le garçon est une chance de survivre, Myron doit retrouver le donneur de moelle qui a disparu dans les plus bref délai. En tentant de la retrouver, il va se lancer sur la piste d’une dangereux tueur en série. Aider de son ami Win et d’Esperenza, il finira par le trouver et par sauver Jeremy qui n’est autre que son fils biologique.
J’ai bien aimé ce nouveau volet des tribulations de Myron Bolitar. J’avais peur d’être un peu lassée des romans de ce genre. J’avais peur de trainer un peu en le lisant, de ne pas accrocher mais le suspense est bien mené, on ne devine pas de suite ce qu’il en est. Du coup, ça se lit bien. C’est pas non le roman que l’on commence pour ne plus le lâcher. Mais j’ai passé un bon moment. Bref voilà un petit roman agréable pour se détendre dans le métro en cette fin d’année.
La quatrième de couv’ : Mauvaise passe pour Myron Bolitar : au moment même où son agence bat de l’aile, ce coup de fild’Emily Downing. Un premier amour qui reprend contact n’est jamais très bon signe. D’autant qu’il y a treize ans, Emily n’a rien trouvé de mieux à faire que de le plaquer pour Greg, le rival détesté. L’homme qui a élevé, lui apprend aujourd’hui Emily, son propre fils, Jeremy… La nouvelle désarçonne Bolitar mais une seconde le remet vite en scène : Jeremy souffre d’une grave anémie qu’une greffe de moelle osseuse seule pourrait guérir. Et l’unique donneur compatible s’est évanoui dans la nature. Des pères, des fils, un journaliste plagiaire, un tueur en série, des tuiles en pagaille et des ardoises à régler. La course au donneur est lancée, et l’enjeu n’a rien d’une partie de base-ball.
Prochaine lecture : L’homme aux cercles bleues de Fred Vargas