Un trajet en RER m’aura fallu pour lire de l’étrange histoire de Benjamin Button de Francis Scott Fitzgerald. Et je ne sais pas trop quoi en penser à vrai dire! Tout d’abord l’histoire en deux mots : En 1860, Mr et Mrs Roger Button, famille en vue de Baltimore, attendent leur premier enfant. Mais surprise à la naissance, l’enfant n’est pas le beau bébé qu’ils attendaient mais un vieillard de plus de 70 ans. La honte submerge le père qui ne sait comment réagir face à cette aberration de la nature. Pourtant au fil des ans, le jeune Benjamin semble rajeunir : sa peau est de moins en moins ridée, ses cheveux noircissent, il se tient plus droit et est plus dynamique chaque jour. Tout aussi saugrenu que cela puisse paraitre, Benjamin Button vit sa vie à l’envers, de la vieillesse à l’enfance.
Je voulais lire cette nouvelle même si je n’ai pas vu l’adaptation cinématographique qui en a été faite l’année dernière avec Brad Pitt dans le rôle titre. Et bien voilà, je l’ai lu mais je n’ai rien à en dire de plus. Je ne suis pas sure d’avoir saisie la morale de cette histoire. Je ne suis pas sure d’en avoir saisie toute la portée (j’allais ajouter métaphysique mais je ne suis pas sure que cela convienne). Pour moi il s’agit juste d’un récit, sans grand intérêt. Pour ceux qui découvrirait l’œuvre de Fiztgerald, je vous conseille plutôt de lire Gatsby le magnifique.
La quatrième de couv’ : Des sa naissance, loin d’etre un beau poupon joufflu, Benjamin Button ressemble à un vieillard vouté et barbu! Ses parents découvrent peu à peu qu’il rajeunit chaque jour : de vieillard il devient un homme mûr, un jeune homme, un enfant… Bénédiction ou malédiction ?
Prochaine lecture : Les amants de la terre sauvage de Katherine Scholes