Dernier livre lu au compteur : La consolante d’Anna Gavalda. L’histoire est celle d’un architecte parisien bien installé, Charles Balanda dont l’univers vole en éclat le jour où il apprend la mort de la mère de son meilleur ami. Charles va petit à petit sombrer, perdre pied, se séparer de sa femme, régler ses comptes. Et puis un beau jour, alors qu’il était parti sur les traces de son passé, il rencontre Kate, maman adoptive de 5 enfants qui vit dans une ferme entouré d’animaux. C’est le coup de foudre. Charles décide de tout plaquer pour vivre avec elle.
Ce que j’en ai pensé ? j’ai adoré! Peut-être moins à cause de l’histoire que du style. j’ai en effet adoré le style d’écriture de ce roman : haché comme les pensées du personnage principal. C’est pour ainsi dire dans l’esprit torturé du héros que nous installe Anna Gavalda cette fois. Comme les autres romans du même auteur que j’ai pu lire, ça se lit bien.
La quatrième de couv’ : Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d’une femme qu’il a connue quand il était enfant et qui incarnait pour lui un univers bien différent de sa famille petite-bourgeoise : un univers de folie, de passion, de douleur même, un univers vivant. A l’annonce de cette nouvelle, il bascule dans l’angoisse et le chagrin. Il perd pied. Dans son couple, dans son travail, dans ses certitudes… jusqu’à ce que sa rencontre avec la lumineuse Kate change sa vision du monde.
Prochaine lecture : Cette chanson que je n’oublierai jamais de Mary Higgins Clark