Je viens de finir un des derniers romans que je lirais en 2018, Je voudrais que la nuit me prenne d’Isabelle Desesquelles.
Dans ce petit roman, Clémence la narratrice raconte son enfance dans une maison isolée sur un plateau de l’Aubrac où ses parents ont choisis de s’installer peu après sa naissance. Elle raconte l’école où son père est aussi son instituteur, ses premiers émois amoureux avec Just de deux ans son aîné, sa cousine Lise venue vivre chez sa grand-mère, Mamoune le temps que ses parents divorcent. Elle raconte aussi les quelques jours qui précèdes son vingt-quatrième anniversaire qu’elle ne vivra jamais car Clémence n’est plus là.