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Cinéma

Lone Ranger, la naissance d’un héros

Posted in Ciné, cinéma
on 29 juillet 2013

Mercredi dernier, j’ai été invitée à une projection en avant-première et en présence de l’équipe du film du dernier Disney, Lone Ranger, la naissance d’un héros qui sortira en salle le 07 aout.

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Synopsis : Tonto, guerrier indien, raconte l’histoire méconnue qui a transformé John Reid, un ancien défenseur de la loi, en un justicier légendaire. Ces deux héros à part vont devoir apprendre à faire équipe pour affronter le pire de la cupidité et de la corruption.

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L’histoire s’ouvre sur un Tonto très âgé qui dans une fête foraine se met à raconter à un petit garçon l’histoire du Lone Ranger. Tout commence dans un train. John Reid, un jeune avocat rentre chez lui dans l’ouest américain. Mais le train est attaqué par un bande de hors-la-loi venus délivrés leur chef emprisonné. John qui a remarqué les hommes armés à côté du train tente d’arrêter le fugitif, Butch Cavendish. Malheureusement il est stoppé net et enchainé à un indien qui se trouvait là, Tonto. Tonto n’a qu’un but : tuer Butch. Butch et ses hommes de main ayant fui, John décide de prêter main forte à son frère Dan et à ses hommes pour le ramener et le juger. Mais alors qu’il chevauche dans la montagne, ils sont pris dans un guet-apens et tuer par les hommes de Butch. Laissé pour mort, John est sauvé par Tonto et un mystérieux cheval blanc. Décidé à venger la mort de son frère, John se laisse convaincre par Tonto de partir à la recherche de Butch.

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Lone Ranger, la naissance d’un héros c’est quoi ? c’est un western à la sauce Disney. Il y a les cowboys et les indiens, les gentils et les méchants. Il y a un justicier masqué, le Lone Ranger interprété par Armie Hammer et son acolyte Tonto le comanche interprété par l’ex de Vanessa Paradis, le beau Johnny Depp. Un Johnny Depp grimé qui fait ses sempiternelles pitreries. Dans Tonto le comanche, j’ai vu en effet un peu (beaucoup) de Jack Sparrow, le héros de Pirate des Caraïbes. Normal me direz vous, les deux personnages sont interprétés par le même acteur. C’est vrai mais quand même, c’est assez flagrant. C’est au point que le personnage de Tonto finit par volet la vedette au héros et occupe la première place dans cette adaptation du Lone Ranger. Les producteurs n’ont d’ailleurs pas hésité à faire un flash-back sur l’enfance de l’indien pour lui donner encore plus de relief.

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Dans Lone Ranger, la naissance d’un héros, on retrouve ainsi  quelques trucs puisés dans des grands succès de Disney ou autre.  Dans la scène du train à la fin (j’en dirais pas plus pour ne pas gâcher le suspense), j’ai eu un petit gout de déjà vu et j’ai pensé tout de suite à Zorro. Dans Zorro, y a une scène un peu semblable avec un train et la fiancée de Zorro prisonnière dans ce train. Ça sera peut-être vu comme un défaut par certain ces constantes références à d’autres film, pas pour moi. J’ai vraiment beaucoup aimé ce Lone Ranger. En plus le film est bourré d’humour que ce soit avec les réflexions de Tonto sur l’homme blanc ou bien les scènes avec Silver le cheval du Lone Ranger (comme celle où le cheval se saoul tranquillement en attendant les deux compères à la sortie d’une maison close).

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Bref excellente surprise pour moi que ce Lone ranger. Et je ne peux que vous conseiller d’aller le voir :)

Les reines du ring

Posted in Ciné, cinéma
on 2 juillet 2013

J’ai vu il y a deux semaines de ça, Les reines du ring avec Nathalie Baye, Marilou Berry, Audrey Fleurot, Corinne Masiero et André Dussolier dans les rôles principaux.

Les reines du ring

Les Reines du ring raconte l’histoire de quatre caissières qui pour aider l’une d’entre elle vont monter une équipe de catch féminin. Quand Rose sort de prison, elle trouve du travail comme caissière dans un supermarché du nord de la France. Sa seule obsession : renouer avec son fils Mickael, fan de catch, placé en famille d’accueil durant son incarcération. Pour cela, elle ne va pas hésiter à monter avec trois de ses collègues caissières une équipe de catch. Les quatre copines vont s’entrainer sous la houlette d’un ancien catcheur professionnel un peu bourru que Rose à retrouver. Leur but : assurer le show lors d’un gala contre une équipe de redoutables mexicaines. Et pour Rose, bien sûr faire vibrer son fils.

Les reines du ring

Synopsis : Rose, 25 ans, n’a qu’une idée en tête : renouer avec Mickaël, son fils de 11 ans dont elle a été séparée pendant plusieurs années. Mais la tâche s’avère compliquée. Lorsque Rose découvre la passion de Mickaël, elle pense avoir trouvé le moyen de briser la glace : elle va monter une équipe de catch avec ses trois collègues caissières.

Les reines du ring

Mon avis ? Et bien j’ai bien aimé. Voilà ça c’est dit. Pourquoi ? Non pas parce que je suis fan de catch, non mais parce que c’est bien joué, que l’humour est présent d’un bout à l’autre et parce que l’histoire ne se limite pas qu’au catch et à ses prises spectaculaires. Chacune a ses propres problèmes dans la vie : Colette (Nathalie Baye) par exemple est au prise avec un mari qui la trompe et se retrouve réduite à jouer les boniches au quotidien. Grâce au catch, elle va reprendre le contrôle de sa vie et surtout gagner en confiance en soi. J’ai beaucoup aimé aussi le fait que le film joue sur les contrastes et les opposés. Comme par exemple dans cette scène où la petite danseuse étoile demande un autographe à la bouchère de Béthune.

Les reines du ring

Bref, Les reines du ring sont pour moi une jolie surprise et pourraient bien être si vous voulez mon avis, la comédie française de l’été.

Pour info, enfin, le film sort demain en salle :)

Les stagiaires

Posted in Ciné, cinéma
on 24 juin 2013

J’ai eu la chance de voir en avant première ce qui à mon avis va être l’une des comédies de l’été : Les stagiaires de Shawn Levy avec dans les rôles principaux Vince Vaughn et Owen Wilson.

les stagiaires

Synopsis : « Billy (Vince Vaughn) et Nick (Owen Wilson), deux quarantenaires dont les carrières ont été pulvérisées par Internet, repartent à zéro en obtenant un stage chez Google qui, peut-être, débouchera sur un job.
En compétition avec des petits génies de l’informatique tout droit sortis de l’école, ils vont devoir prouver qu’ils ne sont pas des dinosaures. »

les stagiaires

Bill et Nick sont depuis toujours des vendeurs de montres. Alors qu’ils dinent avec un client dans le but pensent-ils de signer un nouveau contrat, ils apprennent que leur boite vient de déposer le bilan et qu’ils sont virés. Bien décidés à rebondir, nos deux compères tentent leur chance afin de décrocher un stage  pouvant déboucher sur un job à plein temps chez Google. Mais voilà pour décrocher le fameux contrat, il va falloir montrer ses capacités en remportant un certains nombre de challenges en équipe tout au long de l’été. Avec leur acolytes, Bill et Nick vont montrer qu’ils possèdent la fameuse googlitude qui fera d’eux de bons employés du géant américain de l’internet.

Alors bah, j’ai beaucoup aimé Les stagiaires. Même si l’histoire est convenue, que l’on sait d’avance comment cela va se terminer, le film est bourré d’humour. Rien que dans la scène de brainstorming pour trouver une idée d’application à développer où Bill dit « on the line » au lieu de « on line ». J’ai trouvé ce comique de mots excellent. Après il y a la parodie de match de Quidditch (le sport d’Harry Potter et de ses amis sorciers) qui est juste à mourir de rire. Avec Les stagiaires, on passe un bon moment. On rigole bien.  Et tous, on peut rigoler aux blagues du film. Le film ne fait jamais appel à des blagues de geek que seul une minorité pourrait comprendre. Au final, nos deux compères et leurs amis prononcent peu de termes techniques tout le long du film.

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J’ai aimé aussi le bon esprit du film et les valeurs qu’il transmet. Finalement pour réussir, il faut certes des compétences mais surtout un esprit d’équipe. Et c’est justement ce que nos deux compères vont s’employer à faire tout au long du film : souder leurs coéquipiers et devenir une véritable équipe.

Enfin j’ai bien aimé pénétrer un peu dans les locaux de Google en Californie même si parfois j’ai été un peu sceptique face à l’image que le film donne de l’entreprise. C’est des fois un peu trop positif. D’un autre côté montrer Google sous un jour ultra positif amène des scènes très drôles dans le film. je pense à cette scène où Bill se rend à la cafeteria et découvre qu’il peut prendre tout ce qu’il veut gratuitement tandis que derrière lui la file s’allonge.

Bref, Les stagiaires sont vraiment une bonne comédie à voir d’urgence.

Sortie en salle le 26 juin 2013.

L’hypnotiseur {concours inside}

Posted in Ciné, cinéma, Concours
on 7 mai 2013

La semaine dernière, j’ai pu voir avant sa sortie en salle mercredi, L’hypnotiseur. L’histoire débute par un meurtre. Un prof de sport, père de famille, est assassiné dans le gymnase où il travaille. L’inspecteur Joona Linna (Tobias Zilliacus) de la brigade criminelle entend l’appel à la radio et se rend sur les lieux. Il a immédiatement la conviction qu’il ne s’agit pas d’un crime crapuleux. Alors qu’il s’apprête à rentrer chez lui, il reçoit un appel du central l’informant que toute la famille de l’homme a été massacrée dans leur maison. Seul le fils ainé, Josef en a réchappé et est dans le coma. A l’hôpital l’inspecteur Joona en charge de l’enquête décide de demander de l’aide à un célèbre hypnotiseur, Erik Maria Bark (Michael Persbrandt). Bien qu’il pensait ne plus jamais utiliser ses dons, Erik qui vit retiré dans sa maison auprès de sa femme Simone (Lena Olin) et de son fils Benjamin (Oscar Pettersson), accepte après quelques hésitations de tenter d’entrer en contact avec Josef. Alors qu’il s’aventure dans le subconscient du jeune garçon et fait ainsi remonter à la surface de surprenants et terribles secrets, c’est son propre fils qui est enlevé.

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Ce film est une adaptation du best-seller, L’Hypnotiseur de Lars Kepler, pseudonyme d’un couple d’auteurs de romans policiers suédois bien connus, Alexander et Alexandra Ahndoril. Ils ont choisi Lars, en souvenir de Stieg Larsson, l’auteur de Millenium aujourd’hui disparu et Kepler, en hommage à l’astronome allemand de la Renaissance, Johannes Kepler qui a découvert la supernova portant son nom. Je ne pousserai pas plus loin les références au livre car je ne l’ai pas lu. Je ne parlerai pas non plus d’avantage de Lars Kepler car avant de voir le film je n’en avait jamais entendu parlé. Note pour moi-même : m’intéresser d’avantage à la littérature suédoise un de ces quatre.

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Revenons-en donc au film de Lasse Hallström. Dans l’ensemble, ce film m’a plu sans plus. Il s’agit d’un thriller psychologique, pas d’un film fantastique comme on pourrait s’y attendre à la lecture du synopsis.  Les scènes où Erik entre en contact avec Josef alors qu’il est inconscient sont peu fréquentes finalement et relativement courtes. L’intrigue repose d’avantage sur la psychologie des personnages et leurs relations. Le rythme est somme toute assez lent. Il y a peu d’action. Un truc qui m’a frappé aussi c’est la quasi absence de musique. Sauf à la fin, la bande son est inexistante.

Hypnotisoren i regi av Lasse Hallstrom

Bon après la chose qui m’a gênée, c’est d’avoir vu le film en VOST autrement dit en suédois sous titré. Et oui comme je ne parle pas un mot de suédois, j’ai du faire gaffe à bien lire tous les sous-titres et à ne pas trop m’appesantir sur les images.

Bref j’ai passé une bonne soirée mais sans plus :)

Concours :

Vous voulez vous faire votre propre avis ? Très bien, j’ai 5×2 places à vous offrir pour aller voir L’hypnotiseur en salle dès le 8 mai. Pour cela rien de plus simple puisqu’il suffit de me laisser un commentaire en m’indiquant que vous participez.

Vous avez jusqu’au 12 mai 2013 minuit. Je ferai un tirage au sort parmi toutes les participations pour déterminer les 5 gagnant(e)s et annoncerai les résultats sur le blog et sur la fan page du blog le lendemain.

Attention le concours est ouvert à la France métropolitaine uniquement.

Bonne chance à tous :)