Je vous le disais bien qu’on allait retrouver très vite la sympathique espionne de Anouchka Palmerini, Anthéa Minskowski pour de nouvelles aventures. Je viens en effet de terminer le second tome intitulé Anthéa Minkowski et l’affaire du violon de Dante. Et oui, j’avais reçu dans le cadre du même partenariat sur Livr@ddict les deux premiers tomes :) J’ai donc pas eu longtemps à attendre pour lire la suite.
Cette fois, nous retrouvons Anthéa, Ariel, sa meilleure amie Prunille et Mickey à Vienne pour une semaine de vacances bien méritée. Alors qu’Anthéa n’a pas vu Julien Ambord depuis plusieurs semaines, elle le croise fortuitement à l’aéroport de Vienne. Le jeune espion lui confie alors un violon de grande valeur, le Violon de Dante. Anthéa et ses amis cachent d’abord le violon dans leur chambre à l’hôtel. Mais très vite, ils découvrent que ce violon a la réputation d’être maudit mais aussi qu’il est la star d’un concert qui doit être donné le samedi suivant et que conclura la signature d’un accord de paix très sensible. Ils décident alors de le cacher dans la cathédrale. Mais le violon est volé et un prêtre assassiné. Les quatre amis, recherchés par la police et les services secrets autrichiens tentent de retrouver le Violon par tous les moyens mais des terroristes veulent aussi mettre la main dessus.
Mon avis ? J’ai beaucoup aimé ce second volet des aventures d’Anthéa Minkowski et de Julien Ambord. J’ai trouvé qu’il était nettement meilleur que le premier. Pourquoi ? D’abord parce que les lieux sont décrits avec précision. On est à Vienne et l’auteur semble bien connaitre la capitale autrichienne au point d’en faire une description précise. Dans le premier tome, a contrario, on ne sait jamais où l’on est. Il est juste fait mention d’une ville. Est-ce Paris, Marseille ou une tout autre ville ? On ne le sait pas. les descriptions des lieux sont sommaires. Là c’est tout le contraire. Les itinéraires de nos quatre amis sont décrits avec précision. J’ai trouvé que cela aidait à se représenter l’action, à rentrer dans l’histoire. Le mode de narration s’est amélioré aussi. Si une grande partie du récit est raconté par Anthéa, les passages qui ont pour héros, Julien ou son coéquipier Thomas sont racontés à la troisième personne par un narrateur omniscient. Comme ça, c’est beaucoup plus convaincant. Là je n’ai pas tiqué sur le mode de narration. Après, ce second tome, je l’ai lu très vite. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant. C’est donc qu’il doit quand même être bon :) En tout cas je n’aurai qu’un mot pour conclure : vivement la suite! Et encore merci à Anouchka Palmerini et à Livr@ddict pour cette découverte.
La quatrième de couverture : Aaaaaaahhhhhh ! Vienne en hiver. Ses marchés de Noël, ses vitrines illuminées, la neige qui la recouvre de son blanc manteau…
Dans l’avion qui les emmène vers l’Autriche, Anthéa, Prunille, Ariel et Mickey aspirent à de tranquilles vacances entre amis. Mais, à leur arrivée à l’aéroport de Vienne, Anthéa rencontre Julien par hasard. Traqué, il lui remet une valise avec la consigne de veiller dessus, quoi qu’il arrive. Puis il disparaît… Anthéa et ses comparses vont vite découvrir qu’elle contient un violon, recherché et… maudit ! Commence alors pour nos quatre amis une longue série de catastrophes et d’imbroglios en chaîne.
Quel est le lien entre Julien et le terrible instrument ? Pourquoi la troublante Lou Bertholdi veut-elle mettre la main dessus ? Qui est Camélia, la fatale violoncelliste que Julien cache dans la chambre d’un palace ? Quel rôle joue Benjamin, ex-boyfriend de Prunille qui réapparaît par surprise ? Et surtout… Y a-t-il une chance pour Théa de retrouver Julien ? Ou la malédiction du violon de Dante a-t-elle déjà tout détruit sur son passage ?
Prochaine lecture : Le grand Cœur de Jean-Christophe Rufin