Il y a quelques années, j’avais lu et beaucoup apprécié La dernière fugitive de Tracy Chevalier. Aussi quand l’occasion m’a été donné de me plonger dans A l’orée du verger, je n’ai pas hésité!
Dans A l’oree du Verger, Tracy Chevallier raconte la vie d’une famille de colons américains, les Goodenough. Faute de terre à cultiver, la famille Goodenough est partie s’etablir plus à l’ouest dans le Black Swamp. Là pour entrer en possession de terres, il faut planter 50 pommiers. C’est ce que fait James, le père avec une préférence pour les pommes de tables au grand désespoir de Sadie, la mère. Cette dernière a en effet trouvé refuge dans l’alcool. Un beau jour, une terrible dispute survient dans le couple et le mari et la femme s’entretuent laissant cinq enfants orphelins. Robert le plus jeune s’enfuit. Il passera les années qui suivront à sillonner le pays tout en exerçant divers métiers. Tour à tour chercheur d’or, militaire ou encore botaniste. Sa sœur adorée, Martha, elle, trouvera refuge chez les voisins, les Day qui n’ont pas pu avoir d’enfant et ne rêvera que de fuir pour rejoindre Robert.