J’ai reçu il y a maintenant un mois Portrait de l’aventurier de Roger Stéphane dans le cadre d’un partenariat sur Livr@ddict. J’ai commencé à le lire aussitôt après avoir terminé ma lecture en cours. J’ai lu quelques pages puis j’ai très vite commencé autre chose au prétexte que je rencontrais l’auteur et devais donc lire son roman rapidement. Oui mais Portrait de l’aventurier aussi il fallait que je le lise en un temps donné. Certes mais je n’ai pas pu, je n’y suis pas arrivée. J’ai lu quelques pages, puis encore quelques pages. Je me suis forcée. Je l’ai pris dans les transports. Je n’en ai pas emmené un autre au cas où pour ne pas être tentée. Oui mais non, j’ai préféré ne pas lire du tout. Je ne doute pas que cet essai soit bon voir peut être même très bon. Moi je ne suis pas arrivée à le lire. J’ai abandonné en court de route. J’ai abandonné très vite même. Je n’ai pas dépassé la page 50 je crois bien. Après même pour ces quelques pages, je serai bien en peine de vous parler de ce que j’ai lu. Trop soporifique. Les mots ont glissés sur moi comme sur une toile cirée. Rien à faire, j’ai rien retenu. Mis à part qu’il est question de Malraux, de T.E Lawrence et de Von Salomon (c’est pas dur non plus, c’est dit dans le titre). La démonstration de l’auteur, elle, m’est vraiment passée au-dessus comme on dit.
J’ai pas pu finir cet essai et cela me rend malade. Abandonner un livre, c’est pour moi une défaite, une trahison. Trahison envers l’auteur qui y a mis ses tripes. Du coup en d’autres temps, je me serais forcée à lire jusqu’à la lie. Mais plus maintenant. C’est comme ça voilà tout. Après ça ne remet pas en cause la qualité de ce Portrait de l’aventurier :)
La quatrième de couverture : Qu’ont en commun Lawrence d’Arabie, l’écrivain André Malraux et le conspirateur prussien Von Salomon ? « Peut-être s’agit-il des derniers hommes d’action », répond Roger Stéphane. Dans cet essai, il confronte ces trois destins exceptionnels que tout semble opposer et brosse, à partir de leurs similitudes, un portrait de l’Aventurier des temps modernes. Réflexion sur l’action et l’engagement, la vie et la mort, ce livre est l’un des grands classiques de « l’esprit d’aventure » qui ne cesse d’animer les hommes.
Prochaine lecture : Fenêtre sur crime de Linwood Barclay