Je vous souhaite à toutes et tous une bonne et heureuse année.
Merci de votre fidélité, vos likes, vos commentaires. J’espère tous vous retrouvez ici en 2019 pour de nouveaux bavardages.
Et encore une fois une bonne et heureuse année 2019 :)
Il y a des romans que l’on garde bien au chaud, dont on retarde la lecture au maximum. Kiss me deadly, le spin-off de Sang d’ombre fait partie de ces romans.
On retrouve Swann une vingtaine d’année avant sa rencontre avec Angelyne. Il a en projet d’ouvrir une maison d’artistes dans la banlieue parisienne et a besoin de l’approbation de son aîné, le prince Edern. Edern accepte à la condition que son petit frère disparaisse avant que les humains ne se posent trop de questions sur sa vraie nature. Swann déjà accro à toute sorte de drogues lance ainsi le Fun House avec l’aide de Gaël son fidèle majordome et Nina, une jeune assujettie. Parallèlement, il se lie avec un jeune punk, Brian qu’il entraînera jusqu’à la mort.
Il est temps de remettre les compteurs à zéro et de faire un dernier bilan des produits finis pour 2018 (après ça on fera un bilan de mon project pan du second semestre). Mon sac est bien, bien rempli cette fois! Vous allez voir :)
Je viens de finir un des derniers romans que je lirais en 2018, Je voudrais que la nuit me prenne d’Isabelle Desesquelles.
Dans ce petit roman, Clémence la narratrice raconte son enfance dans une maison isolée sur un plateau de l’Aubrac où ses parents ont choisis de s’installer peu après sa naissance. Elle raconte l’école où son père est aussi son instituteur, ses premiers émois amoureux avec Just de deux ans son aîné, sa cousine Lise venue vivre chez sa grand-mère, Mamoune le temps que ses parents divorcent. Elle raconte aussi les quelques jours qui précèdes son vingt-quatrième anniversaire qu’elle ne vivra jamais car Clémence n’est plus là.