Polina, danser sa vie

Posted in Ciné, cinéma
on 16 novembre 2016

J’ai pu voir en avant-première la semaine dernière, Polina, danser sa vie, adaptation cinématographique de la BD de Bastien Vives paru en 2011.

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L’histoire est celle d’une jeune danseuse russe, Polina. La jeune fille rêve de devenir danseuse étoile. alors que son rêve est sur le point de se réaliser puisqu’elle doit entrer au ballet du Bolchoï, elle quitte tout pour aller passer une audition afin d’intégrer la compagnie de danse moderne de la chorégraphe Liria Elsaj (Juliette Binoche) à Aix en Provence. Prise a l’essai avec son petit ami, Adrien, Polina est tout de même pressentie pour tenir le rôle principal. Mais lors des répétitions, elle se blesse à la cheville. Polina quitte alors la troupe et Aix. Elle tente sa chance un peu partout en Europe avant de se fixer à Anvers où elle trouve un job dans un bar.

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Bon je ne connaissais pas là BD donc je ne tenterais pas une comparaison des deux. Je vais vous parler exclusivement du film dans ce qui suit :)

Avec Polina, danser sa vie, il y a du bon et du moins bon, il faut bien le dire. J’ai trouvé certaines scènes assez clichées : toutes ces scènes par exemple où Polina se promène en ville et voit certaines scènes de la vie quotidienne comme une séquence de danse. Je pense plus particulièrement à cette scène où elle croise dans le métro un sdf se traînant par terre et qu’elle imagine ça comme une chorégraphie. C’est assez cliché de réduire la danse moderne à une représentation de la vie, des émotions je trouve.

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Après Polina est un beau conte initiatique. C’est d’ailleurs sans aucun doute comme ça qu’il faut voir le film. Le personnage de Polina interprétée par Anastasia Shevtsova (danseuse de formation) se cherche, erre et finit par trouver sa voie. Au début du film, elle est prisonnière d’un carcan, devenir danseuse étoile ne semble pas être son rêve mais celui de ses parents, de son père en particulier. Elle a fini par faire sien ce rêve et travaille dur pour réussir. La voie semble toute tracée pour elle. Et puis, elle plaque tout et cherche sa voie. Je l’ai trouvé époustouflante.

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Enfin il faut bien le reconnaitre mais les scènes de danse, en particulier la scène sur le port et le final sont sublimes. On passera sur l’image mentale du cerf qui se couche devant Polina dans le final dont je n’ai pas bien vu la signification. C’est dommage parce que ca casse encore une fois un peu le truc.

Mais chut!!! Je ne vous en dis pas plus et vous laisse plutôt aller voir le film en salle :)

Sortie en salle le 16 novembre 2016 (aujourd’hui)

The Book of Ivy, tome 1 d’Amy Engel

Posted in Lecture
on 15 novembre 2016

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Je viens de terminer la lecture du roman  d’Amy Engel, The Book of Ivy. Je cherchais un auteur dont le nom commence par la lettre E pour mon challenge ABC et celui-là était dans ma PAL. Ça tombait bien!

L’histoire débute alors qu’Ivy, seize ans se rend à la mairie où doit se célébré son mariage ainsi que celui de dizaines d’autres jeunes gens. Pour maintenir la paix dans la petite communauté, il est en effet d’usage de marier les enfants des deux clans entre eux sans qu’ils aient leur mot à dire. Ivy, la fille du fondateur doit donc épouser Bishop, le fils du président. Si Ivy se résous à ce mariage, c’est qu’elle a une mission : tuer Bishop pour permettre à son père de prendre le pouvoir.

Mon avis ? J’ai beaucoup mais beaucoup aimé ce roman!! Je l’ai littéralement dévoré! J’ai trouvé l’idée de ces mariages arrangés entre les deux clans intéressante même si pas particulièrement originale. C’est en effet un thème récurrent dans la mythologie puis en littérature : livrer ses enfants en tribu au camp adverse. C’est un peu de ça dont il s’agit ici. J’ai trouvé la réflexion sur la condition de la femme, épouse et mère intéressante aussi. Pareil c’est pas forcément très original.

J’ai beaucoup aimé le personnage d’Ivy. C’est par ses yeux que nous vivons toute cette aventure. En effet The book of Ivy est écrit à la personne personne du singulier. Ivy nous raconte son histoire de son mariage jusqu’à sa condamnation à être expulsée de la communauté pour avoir voulu empoisonner Bishop. J’ai aimé l’évolution du personnage. Pourtant quand on y pense, il ne se passe pas grand chose. Mais petit à petit, Ivy s’interroge sur le bien fondé de sa mission. Elle ne doute pas que son père soit un meilleur dirigeant que le président Lattimer mais elle s’interroge sur ses motivations réelles.

Bref, je comprends l’engouement qu’a connu The book of Ivy d’Amy Engel depuis sa sortie en librairie. Maintenant j’ai hâte de lire la suite, The revolution of Ivy.

La quatrième de couverture : Voilà cinquante ans qu’une guerre nucléaire a décimé la population mondiale. Un groupe de survivants d’une dizaine de milliers de personnes a fini par se former, et ce qui reste des États-Unis d’Amérique s’est choisi un président. Mais des deux familles qui se sont affrontées pour obtenir le pouvoir, la mienne a perdu. Aujourd’hui, les fils et les filles des adversaires d’autrefois sont contraints de s’épouser, chaque année, lors d’une cérémonie censée assurer l’unité du peuple.
J’ai seize ans cette année, et mon tour est venu.
Je m’appelle Ivy Westfall, et je n’ai qu’une seule et unique mission dans la vie : tuer le garçon qu’on me destine, Bishop, le fils du président. Depuis ma plus tendre enfance, je me prépare pour ce moment. Peu importent mes sentiments, mes désirs, mes doutes. Les espoirs de toute une communauté reposent sur moi. Le temps de la rébellion approche…
Bishop doit mourir. Et je serai celle qui le tuera.
Née pour trahir et faite pour tuer… Sera-t-elle à la hauteur ? À la fois histoire d’amour torturée, thriller psychologique et dystopie cruelle, The Book of Ivy vous entraîne dans un compte à rebours haletant dont vous ne sortirez pas indemnes.

Prochaine lecture : L’enfant qui criait au loup de Gunnar Staalesen.

Guerlain Noel 2016 : la magie de Shalimar

Posted in Make up
on 14 novembre 2016

Cette année pour sa collection de Noël, Guerlain nous emmène sur les traces de Shalimar. Natalia Vodianova, l’égérie de la maison qui a incarné Shalimar pendant 8 ans et Olivier Echaudemaison, Creative Director Guerlain signent en effet une collection exclusive en hommage au mythique parfum.

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La collection Magie de Shalimar qui comprend huit produits se pare de bleu et d’or. C’est juste magnifique.

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Voyons voir ce que comprend la collecrion en détail :

  • Météorites Perles de Légende (perles de poudre révélatrices de lumière) : c’est pour moi, cette année encore, la pièce phare de la collection. Pour cette edition, Guerlain nous propose un camaïeu de 3 teintes : roses, bleues et or. Les perles roses sont la pour raviver le teint, les bleues pour corriger les imperfections et les cernes et les perles or pour réchauffer et illuminer les joues. Cette édition limitée est assez proche des météorites classiques en teinte numéro 2. Elles conviendront au plus grand nombre.
  • Souffle D’or de Shalimar, poudre iridescente cheveux/corps/visage aux effluves de Shalimar. Rappelez-vous Guerlain avait sorti un produit dans le même genre pour sa collection La petite robe noire.
  • Terracotta Terra India. Cette année, on nous propose une version de la mythique poudre bronzante en version irisée dans un joli boitier bleu.
  • Rouge G en teinte « rouge saphir»
  • Ecrin Shalimar, duo ombres à paupières or/saphir
  • L’Or Eyeliner, un feutre eyeliner aux paillettes dorées. Franchement je craquerais bien juste pour le packaging avec ces dessins qui évoquent les dessins au henné des femmes indiennes!
  • Precious Light (Illuminateur rose nacré)
  • Rouge à lèvres Kisskiss en teinte « rose indien», un rose fuchsia superbe.

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J’ai craqué sur les météorites Perles de légende dès leur sortie en magasin (chaque année il faut être rapide car elles sont très vite épuisées). L’écrin bleu ciselé d’or n’est pas sans rappeler les palais indiens. Rien que l’objet est sublime! Ce n’est pas étonnant que j’ai développé une véritable addiction et que chaque année je me jette sur les éditions limitées (notez que je possède également les classiques que j’utilise régulièrement).

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J’ai craqué aussi sur le fameux Rouge G. Pour ces mythiques rouges à lèvres, j’ai aussi développé une collectionnite aiguë :)

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Et vous, vous en pensez quoi de cette collection Magie de Shalimar ? Vous allez craquer ?

Y a du nouveau dans ma PAL!

Posted in Lecture
on 13 novembre 2016

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Un petit tour à la FNAC ce matin et me voilà repartie avec quelques livres sous le bras.

  • Miss Pérégrine et les enfants particuliers de Ramsom Riggs.
  • Les héritiers de la mine de Jocelyne Saucier.
  • Tu seras notre enfant de Charity Norman.
  • Juste une mauvaise action d’Elizabeth George. J’ai découvert cette auteur il y a quelques années avec son premier roman Young adult, Saratoga Woods et j’avais envie d’en lire un peu plus.
  • La formule de Dieu de J.R. Dos Santos. Je me demande si je l’ai acheté parce qu’il m’a évoqué le Da Vinci Code ou bien parce que le héros est portugais. Sans doute un peu des deux :)
  • Seul dans Berlin de Hans Fallada. Ca faisait longtemps, tiens que je n’avais rien lu sur l’époque Nazi!
  • Un Noël à New York de Anne Perry. La quatrième de couverture m’a grave mis l’eau à la bouche pour celui-là!

A coté de cela j’ai aussi ajouté quelques titres à ma liseuse :

  • Good night Idaho de Keith Lee Morris
  • Terminus Elicius de Karine GIEBEL
  • Hôtel Universal de Simona SORA 
  • Un fauteuil (roulant) pour deux de Dan Marshall
  • Intouchables
  • Intimidation de Harlan Coben
  • La sirène de Kiera Kass
  • Si douce sera la mort de Charlaine Harris
  • L’Opossum rose de Federico Axat

Et vous, quoi de neuf dans votre PAL ?