Saut Hermes 2017

Posted in On sort ?, Photographie
on 18 mars 2017

Ce weekend se déroule la huitième édition du Saut Hermès sous la verrière du Grand Palais à Paris.

Saut hermes 2017

C’est l’occasion d’admirer les meilleurs cavaliers au monde et leurs chevaux. J’y étais vendredi après-midi pour assister aux trois épreuves du jour à savoir . le prix du Grand Palais. les talents Hermès réservés aux cavaliers de moins de vingt-cinq ans et le Prix Hermès Sellier, épreuve servant à déterminer les participants du prix du Saut Hermes. J’ai ainsi pu voir Kevin Staut, Pénélope Leprevost ou encore Roger-Yves Bost pour ne citer que les meilleurs français du moment à l’œuvre.

Saut hermes 2017

Si l’Italie s’adjuge le prix du grand palais, l’Angleterre , les Talents Hermès, c’est le français Patrice Delaveau qui remporte le prix Hermès sellier! En fait c’est trois français qui se classent dans les cinq premiers! Roger-Yves Bost avec Pegase du Murier prend la deuxième place tandis que Philippe  Rozier avec Reveur de Kergane s’adjuge la cinquième. On a longtemps cru que Kevin Staut remporterait l’épreuve mais non! Le champion olympique se classe sixième avec un parcours réalisé en 59 secondes et 12 centièmes.

Saut hermes 2017 - PATRICE DELAVEAU

Petit retour en images sur cette après-midi de folie :

Saut hermes 2017

Saut hermes 2017

Saut hermes 2017

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Belle sous la pluie – Birchbox mars 2017

Posted in Beauté
on 15 mars 2017

Je viens de recevoir ma Birchbox de mars. Ce mois-ci le thème est Belle sous la pluie. Les produits sont proposés dans une trousse bleue marine ou bleue ciel (on pouvait en effet choisir la couleur) imperméable. Perso, j’ai choisi la bleue marine. Je la trouve plutôt sympa avec son style ciré breton. En plus elle est grande.

belle sous la pluie birchbox mars 2017

Mais voyons voir un peu ce qu’elle contient cette fois. J’ai reçu comme à l’ordinaire cinq petits produits :

  • un beauty blender ou éponge à maquillage Birchbox,
  • Une crème Mona Fleur de tiaré de Baija,
  • Un Lait crème concentré Embryolisse,
  • Un Spray Daily Moisture Conditionner Beaver,
  • Un duo d’enlumineur Manna Kadar.

belle sous la pluie birchbox mars 2017

Elle est plutôt pas mal cette box! J’ai déjà eu la crème Baija grâce à un bon plan magazine et je dois dire que l’odeur est à tomber! Dommage que le tube soit petit! J’aime beaucoup la marque Embryolisse donc là encore je suis ravie. Le Spray pour cheveux Beaver me plait bien aussi car il peut s’utiliser avec ou sans rinçage pour laisser ses cheveux profiter encore plus des bienfaits du produit.

belle sous la pluie birchbox mars 2017

je suis un peu plus sceptique sur le duo highlighter et bronzer Manna Kadar. Je ne connais pas la marque déjà et puis je trouve le bronzer foncé pour ma carnation. À voir donc. Je détournerais peut-être le bronzer et l’utiliserais comme fard à paupières. Ça peut le faire non ?

belle sous la pluie birchbox mars 2017

L’éponge à fond de teint quand à elle m’irait bien (j’aime appliquer mon eau de teint avec) si elle n’était pas aussi petite! Pourquoi diable faut-il tout mettre à la taille échantillon ?

belle sous la pluie birchbox mars 2017

Bon malgré tout, ce mois-ci, je trouve ma Birchbox pas mal du tout :) On verra ce que donne celle d’avril maintenant.

Pour vous abonnez vous aussi, c’est par ici que ça se passe. A noter qu’en passant par ce lien, vous gagnez 5 euros sur l’eshop et moi aussi :)

Underground de Sarah Lotz et Louis Greenberg (S.L. Grey)

Posted in Lecture
on 10 mars 2017

Je viens de finir Underground de Sarah Lotz et Louis Greenberg paru aux éditions Fleuve le 9 mars dernier.

L’histoire ? Une épidémie fait rage et décime la population mondiale. Les États-Unis sont peu à peu atteint et les transports sont interrompus. Une poignée de familles ont décidé dès le début de l’épidémie d’investir dans un bunker. Ils se retrouvent tous au Sanctuaire dirigée par Greg Fuller. Pour se protéger, ils ferment les portes et s’apprêtent à vivre en autarcie le temps que le virus recule. Mais quelques jours plus tard, Greg Fuller est retrouvé mort. Accident ou meurtre ? Les colocataires du sanctuaire s’interrogent. Mais un autre problème se pose à eux : Greg mort, ils sont bloqués dans le bunker sans possibilité de communiquer avec l’extérieur. Alors que la tension monte entre les occupants, les morts s’accumulent.

Mon avis ? Si le thème est vu et revu (une poignée d’individus enfermés avec un meurtrier parmi eux), il n’en demeure pas moins que c’est diablement efficace.

Est-ce dû au mode de narration ? Peut-être! Les auteurs ont en effet choisi de faire alterné le point de vue de certains personnages. Pas tous, juste quelques-uns et j’ai trouvé ça bien senti. Il y a Cait, la Baby-sitter sud-africaine entrainée là contre son gré par son employeur; Gina, la fille d’un républicain machiste et fan d’arme à feu; Jae, le fils d’un asiatique et d’une dentiste américaine; Will, le bras droit de Greg Fuller; James, le mari de Vicki; Stella, la fille des Dannhauser ancienne danseuse étoile revenue chez ses parents quand sa carrière et son couple ont sombré. A contrario, on n’aura jamais le point de vue de Brett, le jumeau de Gina; de Cam Guthrie, le républicain fan d’arme à feu ou encore de Vicki Maddox, l’odieuse femme de James.

La tension monte crescendo. Le lecteur se trouve pris par cette histoire et il est très dur de lâcher le roman avant de l’avoir fini. Perso à mesure que je progressais dans ma lecture, je ne voulais pas le lâcher.

On aurait pu s’inquiéter que Underground soit un récit écrit à quatre mains. On pouvait légitimement se demander si la différence de style n’allait pas être trop flagrante par exemple, si on n’allait pas voir la différence d’auteur entre les chapitres. Ça avait été un peu le cas avec le dernier roman écrit à quatre mains que j’ai lu (en l’occurrence je pense à Invisibilité de David Levithan et Andrea Cremer) Mais là pas du tout. Sarah Lotz et Louis Greenberg réussissent le tour de force d’écrire un roman au top. On ne dirait pas qu’il a été écrit par deux auteurs. C’est fluide, cohérent. Pas de souci à ce niveau donc.

Bref Underground est une bonne surprise. Je vous le recommande vivement :)

La quatrième de couverture :  Suite à l’apparition d’un mystérieux virus et à l’explosion d’une fulgurante épidémie, le monde entier a plongé dans le chaos. Mais un petit groupe d’individus s’est préparé à ce cataclysme. Transportant le strict nécessaire, ils se dirigent vers le Sanctuaire, un luxueux complexe souterrain de survie et d’autosuffisance.
Parmi eux, se trouvent James et Vicky, couple de cadres richissime, converti aux théories « survivalistes ». Il y a aussi la famille Guthrie, dont le père, fervent républicain et fan d’armes à feu, supporte mal la présence dans leur groupe du jeune Jae-lin – et son ascendance asiatique. Et puis il y a la très attirante baby-sitter Caity, amenée dans ce bunker contre sa volonté, en compagnie de son employeur et de Sarita, la fille de ce dernier.
Chacun a ses propres motivations. Ils ne se connaissent pas, sont issus de milieux différents et ne partagent pas les mêmes croyances. Et ils cachent tous des secrets. La seule chose qu’ils ont en commun : ils sont prêts à tout pour survivre.
Les portes se referment sur eux, verrouillées et sécurisées par un code, connu d’un seul homme. Ils se trouvent dans le refuge le plus sûr au monde. Aucune raison pour que les choses tournent mal. Jusqu’à ce qu’un corps soit découvert dans le bunker…

Prochaine lecture : Quand on s’y attend le moins de Chiara Moscardelli.

Zanzara de Paul Colize

Posted in Lecture
on 8 mars 2017

J’ai eu la chance (encore une fois) de pouvoir lire en avant-première le nouveau roman de Paul Colize qui paraître le 9 mars, Zanzara.

Fred est un jeune journaliste web au journal belge Le soir. Un soir il reçoit au journal un mystérieux appel téléphonique. L’individu se dit menacé. Il a des informations à lui communiquer. Rendez-vous est pris pour le lendemain dans une maison isolée. Fred s’y rend et y découvre le cadavre d’un homme mort depuis plusieurs jours déjà. La police conclue au suicide. Fred décidé de mener sa propre enquête pensant, lui, qu’il s’agit d’un meurtre. La première chose pour lui va être de découvrir qui était le mort et de lever le voile que sa vie. Son enquête va le mener jusqu’en Ukraine et au massacre d’Odessa.

Mon avis ? Franchement j’ai adoré!! La première chose que j’ai aimé, c’est l’utilisation du contexte historique. L’auteur relie la mort de Régis Bernier au massacre d’Odessa en mai 2014. Une soixantaine de manifestants pro-russes ont en effet trouvé la mort dans l’incendie d’un bâtiment. Les circonstances de cet incendie n’ont pas été réellement élucidées et certains ont parlé de massacre programmé. J’ai trouvé cela franchement intéressant que l’auteur se serve de ça pour ancrer son histoire dans l’Histoire avec un grand H. Après, j’ai quelques bémols aussi. J’ai trouvé les chapitres retraçant les derniers moments de Natacha un peu superflu. Le portrait de la jeune femme (jeune médecin enceinte de six mois qui se rend sur les lieux de la manifestation alors qu’elle est en congé) un peu too much. C’est selon moi destiné à faire pleurer dans les chaumières plus qu’autre chose. C’est dommage car l’histoire n’avait pas besoin de ça. Mais bon passons. C’est anecdotique.

Après j’ai aussi beaucoup aimé le personnage de Fred. Il vit sur le fil du rasoir depuis la mort de son frère et n’hésite pas à tenter la mort la nuit venue. Il passe sous un train, s’enfile le Ring (le periph’ local) en sens inverse, se fait électrocuter, etc… Car Fred se sent responsable de la mort de Greg, son frère ainé. J’ai trouvé le personnage attachant.

C’est le premier roman de Paul Colize que je lis et j’ai adoré. Je crois que je vais me plonger dans Concerto à quatre mains maintenant. J’en ai entendu beaucoup de bien. Pour ceux qui l’ont lu, vous confirmez ? En tout cas, moi je vous recommande Zanzara. Il parait le 9 mars.

La quatrième de couverture : Fred, 28 ans, est journaliste. Membre d’une team de jeunes pigistes web, il rêve de gloire et de signer un article papier qui fera date.
La nuit venue, Fred mène une double, voire une triple vie.
Avant tout, il aime une femme mariée. Une liaison passionnelle, mais sans espoir. Ensuite, il aime le risque, les paris et l’adrénaline. Fred se sent vivre quand il flirte avec les limites.
Ces savants cloisonnements vont voler en éclats le jour où il reçoit un coup de fil à la rédaction. Rendez-vous lui est donné le lendemain pour recueillir des révélations fracassantes.
Arrivé sur les lieux, Fred va faire une rencontre qui le poussera à enquêter sur un fait divers apparemment anodin. Son obstination va provoquer une réaction en chaîne, jusqu’au final, inattendu et époustouflant.

Prochaine lecture : Underground de S.L. Grey