Un bullet journal pour moi et le blog

J’ai décidé de commencer un Bullet journal pour moi et le blog. Vous savez, ce carnet Do it yourself qui regroupe un agenda, des listes diverses et variées (les fameuses collections), des trackers (activités, sommeil, litre d’eau bu, etc…). En fait chacun y met un peu ce qu’il veut en fonction de ses besoins et de ses envies.  Je crois que c’est ce qui m’a plu. J’espère en tout cas que ce mode d’organisation va m’aider à être plus efficace!

mon bullet journal

A fin de créer mon Bullet Journal, je me suis donc achetée un carnet noir format A5 chez Hema. J’ai vu que les habitués du Bujo comme on dit préfèrent quant à eux un carnet Leuchtturm 1917. Perso je ne voulais pas investir avant de savoir si ça allait me plaire et si ça n’allait pas finir un mois plus tard au fond d’un tiroir.

mon bullet journal

J’ai investi aussi dans tout un état de stylos et feutres : j’ai acheté des feutres Paper Mate pour dessiner sur mon billet; j’ai aussi acheté des stylos inkJoy de toutes les couleurs. Je me suis aussi procuré une petite règle pour tracer les traits. Je n’aime pas quand mes traits sont un peu tordus.

mon bullet journal

Je me suis lancée de suite (enfin j’ai pas mal potassé quand même : j’ai consulté des tutos, j’ai cherché de l’inspiration sur Pinterest, je me suis inspirée). J’ai commencé par numéroter les pages. Puis j’ai créé l’index et le planning annuel. Tout de suite derrière, j’ai fait une page pour définir mes objectifs de l’année. On était fin mars alors j’ai décidé de ne commencer les dailies qu’à partir d’avril. J’ai créé une double page avoir une vue d’ensemble du mois. Tout de suite derrière, j’ai réservé une autre double page pour noter toutes mes dépenses.

mon bullet journal

J’ai ensuite fait les planning hebdomadaire : ma semaine tient sur une double page. J’ai ajouté une section objectifs, tâches et notes sur les côtés et en bas.

J’ai préparé d’ores et déjà les mois d’Avril et Mai. Et j’ai commencé à remplir l’agenda mensuel de ces deux mois.

mon bullet journal

J’ai réservé une double page pour un mémo maison. J’y note la date du dernier détartrage de la bouilloire, la date du dernier entretien du ballon d’eau chaude, etc. Le genre de chose dont je ne me souviens jamais et que je fais quand je ne peux plus faire autrement.

J’ai réservé une autres double page aux idées de billets pour le blog. Et puis une autre pour les livres à lire. J’ai réservé aussi une double page pour mes objectifs équestres (et oui je vous ai dit vous listez ce que vous voulez) où j’ai inscrit par exemple vouloir gagner le concours interne en dressage par exemple.

mon bullet journal

Ça ne fait que quelques jours que j’ai commencé mon Bujo mais j’adore déjà le concept. Je trimballe d’ailleurs mon carnet partout avec moi. Je pense juste qu’il faut que je me lâche d’avantage (traduction : que j’écrive vraiment tout ce dont j’ai envie, que je ne me restreigne pas pour x ou y raison).

J’ai lu à plusieurs reprises qu’il valait mieux faire un brouillon de ses pages. J’ai choisi pour ma part de me lancer directement. Alors oui j’ai raté mais j’ai réussi à rattraper une grande partie de mes erreurs. Une rature est devenue ainsi une petite fleur.  Un trait pas droit a laissé la place à une guirlande de fleurs (bon pas de bol sur ce coup, mes feutres ont débordés de l’autre côté). Bref j’ai laissé libre  cours à mon imagination :)

Il me reste maintenant à décorer mon Bullet Journal pour qu’il soir plus beau :)

Quand on s’y attend le moins de Chiara Moscardelli

Posted in Lecture
on 3 avril 2017

J’ai fini il y a quelques jours maintenant, Quand on s’y attend le moins de l’italienne Chiara Moscardelli paru aux éditions Belfond. J’avais d’ailleurs eu l’occasion de la rencontrer pour la sortie de son roman dans un café parisien avec d’autres blogueuses.

Pénélope a 36 ans et travaille au service communication de Pimpax, une société commercialisant des serviettes hygiéniques. A ses heures perdues, elle rédige sous pseudonyme des tests pour un magazine féminin. Sa vie amoureuse est un désert mais Pénélope continue de rêver au grand amour. A l’issue d’une soirée bien arrosée, elle percute à vélo un homme. Elle en est sure c’est l’homme de sa vie. Elle le recroise chez Pimpax. le bel inconnu est chargé de liquider la société et de licencier une partie du personnel. Pénélope est désignée pour devenir son assistante personnelle.

Mon avis ? j’ai aimé mais sans plus. J’ai aimé l’humour de la première partie. Les descriptions de Milan vont bien fait rire. J’ai adoré le contraste entre ce que mange Pénélope, originaire de Bari et les vrais milanaises. L’auteur n’est pas tendre vis à vie de la ville et de ses habitants.

J’ai aussi aussi toutes les références cinématographiques qui parsèment le roman à commencer par l’identification du personnage masculin au comte Ristori. J’ai trouvé intéressante cette idée que Pénélope vivait sa vie par procuration, par identification à des personnages de séries ou de films.

J’ai aussi apprécié le personnage de Pénélope. Cette fille est bardée de diplomes, parle cinq langues couramment, a une mémoire d’éléphant et pourtant elle est pas sure d’elle. Elle commet gaffe sur gaffe; elle pense à haute voix. Bref c’est une vraie calamité. Et pourtant, je l’ai trouvé attachante.

j’ai été moins séduite par l’intrigue. Le côté policier ne m’a pas emballé plus que ca. C’est parfois trop tire par les cheveux. Mais ne vous y méprenez pas, l’ensemble reste malgré tout cohérent.

Bref Quand on s’y attend le moins est une gentille comédie romantique qui séduira je pense de nombreuses filles. Moi il ne me laissera pas un souvenir impérissable :)

La quatrième de couverture : Pénélope a trente-six ans, quelques kilos en trop, une vie amoureuse désespérément inexistante, un job pas très épanouissant d’attachée de presse pour Pimpax – LA multinationale de la serviette hygiénique –, et elle est de surcroît affligée d’une maladresse quasi légendaire.
Comment se sortir de l’impasse ? En s’en remettant au dicton de sa grand-mère : « C’est quand on s’y attend le moins que l’amour vous tombe dessus. » Ou, en l’occurrence, qu’on le percute à vélo. Car le jour où elle renverse le ténébreux Alberto, lui brisant la jambe au passage, Pénélope en est certaine : ils sont faits l’un pour l’autre.
Et lorsqu’elle le recroise dans les locaux de Pimpax, le doute n’est plus permis. Mais quelque chose cloche : le bellâtre se fait appeler Riccardo et semble avoir tout oublié de sa tendre assaillante. Pourquoi tant de mystères ?
N’écoutant que son courage, notre Pénélope se lance dans une folle enquête à la poursuite du prince charmant fuyant et, pourquoi pas, du grand amour…

Prochaine lecture : La panse de Léo Henry.

La fin d’une imposture de Kate O’Riordan

Posted in Lecture
on 29 mars 2017

Je viens de finir La fin d’une imposture de Kate O’Riordan et j’ai proprement adoré.

Rosalie et Luke apprennent le soir de Noël la mort de leur fils, Rob en Thaïlande. Leur fille, Maggie, 15 ans s’accuse de la mort de son frère. Dans les semaines qui suivent, la jeune fille sombre. Un soir, elle rentre après avoir été sauvagement agressée. Se parents découvrent qu’elle a été victime d’un gang de filles. Rosalie parvient à renouer le dialogue et à l’emmener à un groupe de discussion. Là, elles font la connaissance de Jed Cousins. Petit à petit, le jeune homme s’immisce dans la vie de la famille Douglas. mais est-il réellement ce qu’il prétend être ?

Mon avis ? Je l’ai dit, j’ai beaucoup, beaucoup aimé!! Cette histoire est diablement efficace!! Ça démarre doucement et puis d’un coup tout s’accélère et on ne peut plus le lâcher. Je dirais qu’arriver à la moitié, je n’ai pas pu le lâcher. J’avais envie de savoir comment tout cela allait finir, comment Rosalie allait s’en sortir, comment elle allait faire pour sortir sa petite famille des griffes de Jed. Car Kate O’Riordan choisit d’axer toute l’histoire sur le personnage de Rosalie (et ce même si le récit est écrit à la troisième personne et que quelques chapitres sont écrits du point de vue de Luke, le mari ou de Tom, le prêtre et ami de la famille).

Au départ et pendant un long moment, je n’ai pas vu ce que l’accident du fils en Thaïlande venait faire dans tout ça. Enfin si, ça sert de prétexte à alimenter la culpabilité de la fille qui sert de déclencheur à l’histoire (sans ça, pas de groupe de parole, pas de rencontre avec Jed qui lui aussi doit surmonter un deuil, celui de sa grand-mère). Pour tout vous dire j’ai vraiment cru que toute l’intrigue tournait autour de Jed en tant que pervers narcissique. Oui c’est le premier mot qui m’est venu pour qualifier le personnage et je pense que je ne suis pas loin de la vérité! On lui donnerais le Bon Dieu sans confession et pourtant sous ses airs d’ange, c’est un véritable démon. Il est manipulateur, calculateur, menteur. J’ai trouvé que le personnage était bien vu en ce sens qu’on y croit et que l’on n’y voit que du feu (un peu comme Rosalie d’ailleurs). Mais en réalité, c’est bien plus complexe que ça. Et c’est ce que Rosalie va découvrir en tentant de découvrir qui est vraiment Jed Cousins.

Bon il y a quelques petites choses que j’avais compris avant Rosalie moi! Oui mais je ne suis pas une mère qui vient de perdre son fils et qui risque de perdre sa fille!

J’ai apprécié le traitement qui est fait dans ce roman du thème de la culpabilité. Il y a la culpabilité de la fille qui se croit coupable de la mort de son frère (pourtant survenu à des milliers de kilomètres), celle de la mère pour avoir rêver puis succomber aux avances de Jed. J’ai bien aimé l’utilisation qui est faite de la culpabilité dans la religion judéo-chrétienne. Rosalie est très croyante. J’ai aimé les questions de Jed sur la confession et l’absolution. J’ai trouvé ça intéressant. Et puis, il y a Tom, le prêtre et ami de Rosalie. C’est lui qui va la mettre sur la bonne piste malgré le secret de la confession.

Bref La fin d’une imposture de Kate O’Riordan est un excellent thriller!!! Je vous le recommande sans hésiter!

La quatrième de couverture : La vie de Rosalie et de Luke s’est délitée voici quelques mois après la révélation de l’adultère commis par Luke. Mais l’annonce de la mort de Rob, leur fils, lors d’un voyage en Thaïlande provoque un séisme familial. Les mois qui suivent sont un cauchemar dans lequel Rosalie doit apprendre à composer avec la perte de son fils, un contexte conjugal compliqué et aussi la dépression de Maddie, sa fille. Cette dernière se juge coupable de la mort de son frère mais refuse d’expliquer pourquoi à ses parents. Elle se lie avec un gang de filles particulièrement violentes. Rosalie croit apercevoir le bout du tunnel lorsque, au cours d’une thérapie de groupe, elles font la connaissance de Jed, un jeune homme auquel Maddie s’attache très rapidement, même si cette figure singulière devient de plus en plus angoissante. L’adolescente reprend goût à la vie, alors que le diabolique Jed ne cesse de s’immiscer dans la famille…

Prochaine lecture : La Panse de Léo Henry

Prescription Lab Mars 2017

Posted in Beauté
on 23 mars 2017

En même temps que la Birchbox, j’ai reçu la box Prescription Lab de mars.

Prescription Lab Mars 2017

Ce mois-ci, la box contient :

  • un vernis Prescription Lab. A ce que j’ai vu, il y en a deux : un rose nude et un corail. J’ai eu pour ma part le rose clair.
  • une crème gommante Absolution.
  • un soin anti-age Cattier.

Prescription Lab Mars 2017

On a également eu des élastiques à cheveux.

Franchement, je trouve cette box très inégale d’un mois à l’autre. Déjà au niveau valeur, c’est très variable d’un mois à l’autre. Ce mois-ci par exemple, le vernis Prescription Lab est annoncé à 11 euros; le gommage Absolution est quant à lui vendu environ 29 euros; enfin j’ai trouvé le soin  anti-age Cattier pour 5,5 euros les 15 ml. On est donc face à une box qui vaut 45,5 euros seulement. Certes, je n’ai pas compté les élastiques. Mais ça ne fait pas partie du deal. Le mois dernier rien que le sérum valait 73 euros.

Prescription Lab Mars 2017

Certes, les produits ont l’air bien. Le vernis est formulé à 79% à partir d’ingrédients naturels. Il est garanti sans toluène, phormaldéhylde et phtalate de dibutyle. Bon point aussi : ils sont fabriqués en France. Les deux autres produits sont, quant à eux, bio. Le gommage visage Absolution est en effet formulé à plus de 50% d’ingrédients bio. Il y a de l’orange, de la myrtille, du sucre de canne, etc… Bon pour moi le bio, c’est pas forcement quelque chose auquel j’attache de l’importance.

Prescription Lab Mars 2017

Bref, je commence à être déçue de cette box. je me demande si je vais pas arrêter mon abonnement. Ce mois-ci, j’ai laissé passer le délai (ils prélèvement super tôt aussi); je recevrai donc la box d’avril. Ils nous promettent un contenant spécial. Et puis ils parait que deux produits seront aussi personnalisés selon notre profil beauté (enfin j’ai envie de dire!).

Rendez-vous donc le mois prochain  pour la (dernière ?) présentation du contenu de la box Prescription Lab’.