Baume lèvres et Gommage Made in Sephora

Posted in Soin
on 4 mai 2017

Parmi les nouveautés de la marque Séphora, j’avais repéré le gommage au miel pour les lèvres en stick. Ni une, ni deux, je suis allée me l’offrir. J’en ai profité pour repartir avec quatre des cinq baumes à lèvres proposés dans la même gamme : le vert à l’amande, l’orange à la mandarine, le blanc à la noix de coco et le rouge aux baies de Goji. J’ai laissé le rose à la Rose.

Baume lèvres et Gommage Made in Sephora

Il faut savoir que chaque stick à un ingrédient phare qui lui donne ses propriétés. On en trouve un à :

  • l’Amande, pour nourrir et  hydrater
  • la Coco, pour nourrir et apaiser
  • la Mandarine, pour nourrir et  tonifier
  • les baies de Goji , pour nourrir et protéger
  • la Rose, pour nourrir et donner de la brillance

J’ai été séduite par le packaging tout d’abord : le petit tube en carton m’a fait penser illico aux rouges à lèvres Paul et Joe. J’ai ensuite trouvé le prix abordable (4,95 euros). Enfin j’ai aimé que l’ingrédient phare de chaque baume ne se contente pas de parfumer le produit mais lui donne ses vertus.

Baume lèvres et Gommage Made in Sephora

J’ai commencé par tester celui à la noix de coco. Déjà il sent super bon la coco donc. Sur les lèvres, l’odeur disparaît par contre.  Le baume laisse comme un film protecteur sur les lèvres. Cette sensation dure pendant plusieurs heures. J’aime bien.

J’ai testé ensuite celui à la Goji. L’odeur est chouette. Il colore très légèrement les lèvres en rose (attention, ça reste très, très léger). J’aime bien aussi celui-là!

Je passe sur les deux autres. C’est la même chose :)

Baume lèvres et Gommage Made in Sephora

Et le gommage au miel dans tout ça ? Je l’ai testé aussi! Après la première utilisation, j’ai été déçue! Je trouvais que l’on ne sentait pas du tout les grains de sucre. J’avais l’impression que ça n’exfoliait pas, que ça hydratait simplement mes lèvres. Et puis je l’ai utilisé une seconde fois et là, j’ai commencé à sentir les grains. Mes lèvres se sont trouvées un peu plus exfoliées pour le coup. Rien de fou non plus!

Du coup je suis partagée sur ce produit. J’aime le fait que ce soit un stick. C’est plus hygiénique que mes pots habituels. J’aime aussi le côté nomade du produit. On le glisse dans le sac et si besoin avant d’appliquer son rouge à lèvres, on en passe un coup. Why not! Par contre, je ne sais pas si les grains de sucre sont vraiment bien répartis dans tout le bâton et si donc ça exfoliera correctement à chaque fois ? En tout cas, le gommage est léger (rien à voir avec le Lip sugar Scrub de Dior). J’ai trouvé le côté hydratation (grâce au miel présent) très bien par contre.

Baume lèvres et Gommage Made in Sephora

Au final je valide les baumes à lèvres sans hésiter. Je suis plus mitigée sur le gommage. Je pense que si l’on cherche un produit plus nomade, celui de Dior est le mieux. SI par contre, on cherche un bon rapport qualité/prix, les gommages lèvres de Lush sont parfaits!

Et vous, avez-vous teste les nouveaux baumes à lèvres ou le gommage Made in Sephora ?

Ice cream et châtiments de Nadine Monfils

Posted in Lecture
on 2 mai 2017

Ice cream et châtiments de Nadine Monfils

J’ai reçu et lu en avant-première (il sort le 11 mai prochain en librairie) le nouveau roman de Nadine Monfils, Ice cream et chatiments. On y retrouve Elvis Cadillac, le sosie belge du King alors qu’il se rend dans une maison de retraite pour un tour de chant. Je dis ça mais je n’ai lu aucun des autres romans de Nadine Monfils et ne connaissais aucun de ses personnages que ce soit Elvis Cadillac ou Mémé Cornemuse!

Un soir donc, Elvis, sosie du King rentre chez lui au milieu des bois au volant de sa Cadillac avec sa chienne Priscilla quand tout à coup, il heurte un vieillard qui court nu sur la route. Il charge le corps dans sa voiture. Une fois rentré, il le fait disparaitre avec l’aide de la femme qu’il a rencontré la veille. Mais ce qu’Elvis ignore, c’est que le vieux avait échapper à ses ravisseurs, deux petits malfrats de la région. Les deux loubards tentent de récupérer le corps du vieux et tue la fille. Elvis décide de se débarrasser aussi du corps et croise la route de Mémé Cornemuse, une étrange petite vieille complètement loufoque. A mesure que les jours passent, les morts s’accumulent autour d’Elvis.

Mon avis ? Franchement ? J’ai pas aimé. Je n’ai pas aimé les digressions sur l’art brut (ça m’a rappelé les élucubrations de La Famille Fang). Je n’ai pas aimé le personnage de Mémé Cornemuse ni celui d’Elvis Cadillac en fait. Je n’ai pas trouvé ça drôle ni particulièrement bien écrit. J’ai trouvé qu’il y avait trop de choses vu et revu. La femme qui apparait sur la route, qu’Elvis raccompagne mais dont il ne retrouvera jamais la maison quand il voudra la retrouver. C’est vu et revu ce truc. Le duo de malfrats que sont Mickey et Speculoos, ça aussi on en a déjà vu mille comme ça (je veux dire un cerveau et un abruti). Bref rien à faire, je n’ai pas accroché du tout!

La quatrième de couverture : La tournée du sosie du King, Elvis Cadillac, dans une province belge tourne à l’épopée tragicomique ! Elvis est seul sur la route, au volant de sa Cadillac, avec sa chienne Priscilla à ses côtés. Il a décidé de prendre quelques jours de vacances dans le Chimay et doit prochainement se produire devant un parterre de vieux dans la maison de retraite  » Le rossignol guilleret « . Tout va bien… et soudain bang ! Il percute quelque chose ! Il s’arrête et constate qu’il vient de renverser un homme. Face contre terre, le corps ne bouge plus. Elvis le retourne et s’aperçoit avec stupéfaction que c’est une vedette de cinéma très connue. Ni une ni deux, il charge le type dans le coffre de sa voiture. Commence alors pour Elvis une série de folles pérégrinations à travers le Chimay pour, d’abord, se débarrasser de cet encombrant et trop célèbre cadavre, expliquer ensuite à sa conquête de la veille – une touriste belge et majorette en vacances au camping d’à côté, et qui semble vouloir s’incruster chez lui – la présence dudit cadavre dans sa voiture. Et assurer comme un King digne de ce nom à son concert au Rossignol guilleret, face à des retraités farouches qui ne vont pas se laisser séduire comme ça. Heureusement, un ange gardien descendu du ciel (sur un vélo un peu fatigué certes…) va venir lui apporter son aide bienveillante – quoiqu’un peu maladroite. Pas sûr que cela suffise à le tirer d’affaire…

Prochaine lecture : Mon ennemi Arnie de Jérémy Behm

Rouge Veloute sans transfert Sephora, j’ai enfin teste!

Posted in Make up
on 27 avril 2017

Qu’est-ce qu’ils ont fait couler comme encre, les Rouges velouté sans transfert de Sephora!!! J’arrive certes après la bataille mais pour ceux-là, je n’ai pas eu envie de faire le mouton tout de suite. Allez savoir pourquoi !

Rouges velouté sans transfert de Sephora

Bon j’ai quand même fini par en acheter deux très récemment pour voir. J’ai pris les numéros 16 et 38. Il s’agit respectivement de Cherry nectar et Sweet raspberry. J’ai pas fait gaffe à la commande mais les deux couleurs sont assez proches. Cherry nectar, le numéro 16 est juste un poil plus foncé que Sweet raspberry. Je vous montre les swatchs ?

Rouges velouté sans transfert de Sephora

L’application se fait à l’aide d’un embout mousse assez classique pour ce genre de produit. Le produit est vraiment facile à appliquer avec. La couleur se dépose uniformément sur les lèvres. Un passage suffit.

Rouges velouté sans transfert de Sephora

À l’application, c’est vraiment un effet zéro matière. On ne le sent pas. Bon au fil de la journée, cette sensation disparaît un peu. En fin de journée, j’ai en effet eu l’impression que mes lèvres s’asséchaient quelque peu.

Rouges velouté sans transfert de Sephora

Côté tenue, rien à dire. Ça tient tout au long de la journée. A 19h après avoir mangé et bu, j’en avais encore sur les lèvres (je n’en ai pas remis après avoir mangé le midi). Ça s’est estompé uniformément. Il n’y a que sur l’intérieur de la lèvre inférieure que c’est un peu plus parti. Malgré tout, ça reste correct. En plus le bidule tient ses promesses : il ne transfert pas! Je n’ai laissé aucun trace disgracieuse sur mon verre en mangeant, ma tasse à thé est resté vierge de mon rouge à lèvres.

Rouges velouté sans transfert de Sephora

J’ai testé les deux couleurs que j’avais acheté par acquis de conscience. Des fois d’une couleur à l’autre, la tenue change quelque peu. Et bien la non! C’est pareil pour les deux! Attention, sur les photos de l’article, je porte le même :)

Rouges velouté sans transfert de Sephora

Franchement, les Rouges veloutés sans transfert de Sephora sont de véritables petites bombes. A ce prix (10,95 euros), il serait dommages de s’en priver. Ils se déclinent en plus de 40 nuances (bon ok, il y a quelques couleurs improbables comme du vert ou du bleu que personnellement je ne pourrais jamais porter mais après tout chacun ses goûts).

Quand la neige danse de Sonja Delzongle

Posted in Lecture
on 25 avril 2017

Quand la neige danse Sonja DelzongleJe viens de finir de lire Quand la neige danse de Sonja Delzongle.

Cette fois, nous voilà transportés près de Chicago, à Crystal Lake. Quatre petites filles ont disparu. Parmi elles, Lieserl Lasko, la fille de Joe Lasko, père divorcé qui vit seul avec sa fille et sa chienne. Un beau matin, Joe reçoit un étrange paquet contenant une poupée à l’image de sa fille. Incapable d’accéder que sa fille de quatre ans ne revienne jamais, il accepte l’aide de son ami d’enfance, Eva Sportis, devenue détective privée. Celle-ci lui propose de contacter son ancien professeur, Hannah Baxter, une profileuse aux méthodes quelques peu particulières. Grâce à la profileuse et son pendule, ils découvrent les ossements d’une fillette disparue quelques années auparavant. Mais outre les disparitions des fillettes, le chef de la police, Al Stevens doit aussi faire face à des cadavres retrouvés, nu sur le lac gelé de la petite ville.

Mon avis ? C’est le premier roman de Sonja Delzongle que je lis. J’ai bien Dust dans ma PAL mais je n’ai pas encore eu le temps de l’ouvrir. Mais je crois que je vais le faire très vite :) J’ai en effet beaucoup aimé Quand la neige danse. Bon je prends les choses à l’envers puisque dans Quand la neige danse, il est fait référence à Dust et à l’enquête qu’Hannah Baxter a mené à Nairobi avant de rentrer à New York où elle vit aujourd’hui.

D’ailleurs parlons-en d’Hannah Baxter. Si j’ai été un peu sceptique au début face au personnage d’Hannah Baxter et de ses méthodes (l’utilisation du pendule mais surtout son utilisation à distance), je me suis vite rendue compte que c’était tout à fait explicable. Hannah ne m’a pas paru être une charlatan dans son métier. Au final, j’ai bien aimé ce personnage. Il n’y a peut-etre que les longs passages qui lui sont consacrés alors qu’elle est encore à New York qui ne m’ont pas spécialement passionnés. Par contre, j’ai apprécié le fait que pour un personnage récurrent, elle ne soit pas forcément au centre de l’intrigue. J’ai en effet eu l’impression que le récit se centrait bien plus sur Joe Lasko, le médecin et père de la plus jeune des fillettes enlevées. Ça prend un peu le contre-pied des romans policiers traditionnels où l’on a un personnage récurrent je trouve.

Enfin, j’ai trouvé l’histoire passionnante. L’auteur introduit de nombreuses ramifications, égare son lecteur sur de fausses pistes (j’ai quand même douté du frère de Joe ressurgit inopinément) mais aussi crée des personnages à la psychologie complexe (le chef de la police Al Stevens et ses tocs).

Bref Quand la neige danse de Sonja Delzongle est une vraie réussite.

La quatrième de couverture : 2014. L’hiver est le plus froid que Crystal Lake ait jamais connu. Cette petite ville paisible proche de Chicago semble pétrifiée, mais la neige et le blizzard ne sont pas les seuls coupables. Depuis un mois, quatre fillettes se sont volatilisées. Les habitants sont sous le choc. Ce matin-là, Joe Lasko s’équipe pour une énième battue dans les bois gelés lorsqu’on lui dépose un paquet. Dedans repose une poupée, une magnifique poupée aux cheveux longs et roux, comme sa fille Lieserl disparue. Comble de l’horreur : la poupée est vêtue exactement comme Lieserl le jour où elle s’est volatilisée. Ce matin de février 2014, toutes les familles des fillettes vont recevoir une poupée. C’en est trop pour Joe. Ce jeune divorcé n’a plus que Lieserl dans sa vie. Il décide de mener sa propre enquête, aidé par Eva Sportis, une détective privée dont il était secrètement amoureux des années plus tôt. Eva comprend très vite que l’affaire la dépasse et appelle à l’aide Hanah Baxter, son ancienne prof de fac, la célèbre et charismatique profileuse et son inséparable pendule. Hanah réalise au fil de l’enquête que quelque part, dans Crystal Lake, quelqu’un s’en prend aux enfants depuis très longtemps. Les détient-il prisonniers ? Sont-ils encore en vie ? Un criminel maintes fois condamné semble être le coupable tout indiqué, pourtant Hanah, Eva et Joe sont persuadés que la police se trompe de coupable. Dans un décor impressionnant de froid et de glace, Sonja Delzongle mène de main de maître une histoire trépidante dont les rebondissements et les fausses pistes trouvent leur sens dans le passé et nous mènent inexorablement vers un final terrifiant.

Prochaine lecture : Ice cream et châtiments de Narine Monfils.