J’ai fini récemment L’amour comme par hasard d’Eva Rice. L’histoire qui se déroule en Angleterre dans les années cinquante débute alors que Pénélope attend le bus. Sa route croise alors celle de Charlotte qui cherche quelqu’un pour aller prendre le thé chez sa tante Clare. Pénélope qui s’est laissé entrainer fait ainsi la connaissance de Harry le cousin de Charlotte éperdument amoureux d’une actrice américaine sur le point de se marier et prêt à tout pour la reconquérir même à monter un stratagème qui ne laissera pas les protagonistes indemnes. Mais surtout de cette rencontre, il naitra entre les deux jeunes filles toutes deux folles du chanteur Johnnie Ray une solide amitié qui les amènera à partager bien plus qu’un taxi.
J’ai mis du temps à le finir celui-là. J’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire pour tout dire raconté à la première personne par Pénélope elle-même. Quand je suis enfin rentrée dedans, il était trop tard. Ce roman vous l’aurez compris ne m’a pas plus emballé que ça.
La quatrième de couv’ : 1954. Pénélope et Charlotte, de jeunes Anglaises issues de familles aristocratiques mais désargentées, sont folles du chanteur Johnnie Ray, qui fait fureur des deux côtés de l’Atlantique. Harry, le cousin de Charlotte, essaie de reconquérir une extravagante actrice américaine qui s’est fiancée avec un autre. Pénélope, elle, est subjuguée par l’irrésistible Rocky Dakota, un imprésario hollywoodien de vingt-cinq ans son aîné. Mais Rocky s’intéresse-t-il à elle ou à sa mère, une veuve éblouissante qui ne s’est jamais remise de la mort de son mari bien-aimé au champ d’honneur ?
Un marivaudage, dans lequel Eva Rice réinvente avec esprit les jeux de l’amour et du hasard, dans une Angleterre attachée à ses traditions, sur fond de rock’n roll…
Prochaine lecture : Un employé modèle de Paul Cleave