J’ai fini juste après Le bonheur n’est pas un sport de jeune fille, Le casse du continuum de Léo Henry. Normal vu que je lisais les deux en parallèle. Donc vous l’aurez compris aujourd’hui encore, on va parler bouquin sur ce blog. Dans Le casse du continuum, Léo Henry nous entraine dans une autre galaxie loin de la terre et de ses habitants. Nous nous retrouvons face à sept personnages, les meilleurs chacun dans leur domaine. Une mystérieuse créature les a réunit afin de reprogrammer l’instance supérieure qui contrôle l’univers, le Noun. celui-ci a en effet été infecté par un virus informatique très virulent et le seul moyen de le guérir est de plonger au cœur de ses rêves. Octave, Brescia, Tabitha, le Retrominot, Vostok, Kaboom et Marymay se laissent convaincre et partent dans les tréfonds du Noun. Mais ils ont très peu de temps pour accomplir leur mission et voir tous leurs souhaits se réaliser.
Mon avis ? Je ne connaissais pas du tout cet auteur. Normal me direz-vous puisque je ne suis pas à la base une férue de science-fiction. Il faut bien le reconnaitre, ce n’est pas mon genre de prédilection en littérature. Mais là je l’ai lu d’un bout à l’autre et j’ai bien aimé ce casse du continuum. L’écriture est agréable. Je m’y suis retrouver. Je n’ai pas eu de mal à imaginer les choses, à me les représenter. Ça, c’est important pour moi pour rentrer dans l’histoire et me laisser transporter. J’ai bien aimé aussi que le roman s’ouvre par six petits chapitres présentant tour à tour chacun des membres de l’équipe en situation. J’ai trouvé ça très cinématographique comme procédé. Bref moi j’ai passé un bon moment de lecture et je vous recommande de vous plonger à votre tour dans ce Casse du continuum, ça vaut le coup :)
La quatrième de couverture : Ils sont sept. Les meilleurs dans leur domaine respectif : maniement d’explosifs, charisme, assassinat, braquage, séduction… Ils n’ont, a priori, rien en commun mais vont devoir mettre de côté leurs rivalités et s’associer pour une mission secrète insolite. En cas de succès, ils pourraient devenir les sauveurs de l’humanité tout entière. En cas d’échec : la mort ou pire encore. L’enjeu ? Réussir le casse du continuum. Thriller de science-fiction convoquant tour à tour les souvenirs d’Ocean’s Eleven, de Ratinox, d’Inception, de James Bond et de bien d’autres, Le casse du continuum est l’occasion pour Léo Henry de laisser miroiter toutes les facettes de son talent : intelligence scénaristique, style affûté, imagination débordante, humour ravageur…
Prochaine lecture : Dans le silence de l’aube de Françoise Bourdin